Depuis 1833, BOHIN traverse les époques et poursuit son histoire en proposant des outils de mercerie d’exception, fabriqués en Normandie ou développés avec des partenaires de confiance en France, en Europe et dans le monde, dans le respect exigeant de nos cahiers des charges.
1833
Fondation par Benjamin Bohin
Fondée en 1833 par Benjamin Bohin, l’entreprise voit le jour à Saint-Sulpice-sur-Risle, en Normandie, où elle est toujours implantée aujourd’hui. Visionnaire, inventif… et précoce, Benjamin révèle très tôt son tempérament d’entrepreneur. À seulement 11 ans, il demande à reprendre l’entreprise familiale de fabrication de boîtes en bois. Après deux refus et trois fugues, son père finit par céder lorsqu’il a 17 ans : Benjamin transforme alors l’atelier en une véritable fabrique, posant les bases de l'entreprise BOHIN telle que nous la connaissons aujourd’hui.
Sous son impulsion, l’entreprise se modernise avec la production en série, se spécialise dans le travail du fil d’acier et devient rapidement experte dans la fabrication d’aiguilles et d’épingles. La reconnaissance arrive en 1889, lorsque les aiguilles BOHIN remportent la médaille d’or à l’Exposition Universelle de Paris, consacrant l’excellence du savoir-faire français.
1997
BOHIN, au bord de la liquidation
Au fil des décennies, les générations de BOHIN se succèdent et font grandir une entreprise florissante qui, en 1914, emploie près de 600 personnes : ouvriers dans les usines de l’Orne, salariés de la tréfilerie en région parisienne et employés du siège social situé rue Rambuteau à Paris.
Mais après la guerre, les mutations de la société bouleversent le secteur : l’essor du prêt-à-porter, la disparition des cours de couture à l’école ou encore l’invention des couches à scratch sonnent progressivement la fin de l’âge d’or de l’entreprise.
En 1997, BOHIN est au bord de la liquidation judiciaire. C’est alors que son directeur commercial prend une décision : il reprend la société et parvient à la sauver, offrant à BOHIN une nouvelle chance.
2000
Le JT de TF1 ouvre les portes de BOHIN
Le 1er mai 2000, un reportage sur BOHIN est diffusé au JT de 13h de TF1, présenté par Jean-Pierre Pernaut.
Dès le lendemain, des curieux affluent dans la cour de l’usine : tous veulent découvrir la fabrication de nos célèbres aiguilles !
Face à cet engouement, l’idée d’ouvrir un musée et de proposer une visite d’entreprise s’impose naturellement.
C’est ainsi que naît le projet qui aboutira, en 2014, à l’ouverture des ateliers BOHIN au public.
2018
Reprise par Audrey et Fabien Régnier
Embauchée en 2011 pour mener à bien le projet d’ouverture de la visite d’entreprise, Audrey imagine dès 2015, lors d’un échange avec le dirigeant de l’époque, la reprise de BOHIN. Déjà maman de Léopold (2013), l’arrivée de Lazare (2016) puis de Léandre (2017) retarde ce projet, qui se concrétise finalement en 2018.
Elle devient alors Directrice Générale de BOHIN, épaulée par son mari Fabien, qui prend la direction financière et commerciale.
Son ambition ? Réveiller cette belle endormie et lui redonner tout son éclat. Audrey consacre depuis toute son énergie à faire grandir cette pépite française unique.
Dirigeante engagée, elle défend avec conviction l’égalité femmes-hommes et lutte pour une société égalitaire. Son objectif : briser le cliché d’un patronat individualiste et cupide encore trop présent dans les esprits. Femme généreuse, sincère et assumée, Audrey incarne une nouvelle vision du leadership : active, moderne et profondément humaine.
2 500 références
contrôlées, conditionnées et expédiées depuis notre usine de Saint-Sulpice-sur-Risle.
65 %
des produits BOHIN sont issus de fabrications françaises et européennes.
60 pays
distribuent les produits BOHIN aux quatre coins du monde.
NOTRE SAVOIR-FAIRE
Une production unique en France
Sur des machines ancestrales, les aiguillières et aiguilliers perpétuent un savoir-faire unique en France. Ils donnent ainsi naissance aux aiguilles à coudre, aux épingles à tête de verre, aux bracelets pelote... et à d’autres plus petites productions.
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